lunes, 10 de agosto de 2009

"Le punk n’est pas mort, mais il est sous surveillance" "El punk no está muerto, pero está bajo vigilancia"


El gobierno ruso ha puesto en su lista de grupos extremistas a los punks y a todo movimiento político-musical que posea un discurso contra-hegemónico. Colocándolos bajo vigilancia.

Para continuar la lectura recomiendo el traductor: http://translate.google.com/translate_t?hl=es#

L’un de nos Observateurs pour la Russie, le blogueur Sean, nous raconte que la liste des "extrémistes" à surveiller vient d’être étendue aux punks par les autorités russes.
Sean Guillory fait une thèse sur l’histoire des ligues communistes à l’université de Californie (UCLA).
Les autorités russes étendent constamment leur définition de l’extrémisme. Maintenant, la liste des extrémistes va inclure toute une variété de sous-cultures jeunes, des skinheads aux fans de Kino, le légendaire groupe de rock de la période soviétique. C’est en tout cas ce qu’explique ce rapport du bureau du procureur de Saint-Petersbourg. Le quotidien St. Petersburg Times donne plus de détails :
"D’après le rapport, le département criminalité de la police a identifié et ajouté à sa liste ‘88 personnes liées aux skinheads, à des groupes de supporters de foots violents, aux punks, aux emos, aux Black mettallers, aux fans de Kino ou de groupes de rock alternatifs, aux anarchistes, etc’. Kino est un groupe de pop-rock local de l’ère soviétique, influencé par Duran Duran et The Cure, qui est toujours populaire aujourd’hui. […] Le rapport indique que ce travail [de surveillance] est conduit par la police criminelle, mais aussi par la police de proximité et celle en charge de la délinquance juvénile. Une fois identifiés et listés, les membres de ces groupes font l’objet d’un ‘travail préventif’ de la part d’agents de police et d’éducateurs pour ‘prévenir les crimes, notamment ceux liés à l’extrémisme’".
Magnifique ! Mais rien de nouveau dans tout ça. Une liste des musiques "idéologiquement nuisibles" avait été concoctée par le Komsomol (Union des jeunesses communistes) dans les années 80. Ça n’a pas marché à l’époque, je ne vois pas comment ça pourrait marcher aujourd’hui. On pourrait penser que la police de Saint-Petersbourg a des choses plus importantes à faire… En tout cas, le punk n’est pas mort, mais il est sous surveillance."

No hay comentarios: